Léontine dans la sélection de ELLE :-)

On est fières d'elle,

elle est dans dans la sélection "Livres antisexistes" de ELLE,

ça donne des ailes

ma poésie est pourrie

mais j'ai pas trop dormi

cette nuit

Allez voir là, si ça vous dit !

Une interview sur la mare aux mots

Une interview à laquelle j'ai aimé répondre, ça se passe par là : les pieds dans La Mare aux Mots !
Merci infiniment Gabriel.
Beau cadeau d'anniversaire (c'est demain !)


Juste après, il y a un article sur une illustratrice, Mélo. Je ne la connaissais pas et je vous invite à faire un tour sur son blog, son travail m'a beaucoup plu. Belle découverte.

Et puis, Gabriel organise un petit concours pour gagner le tome 1 de Prune !

Résultats !!

Alors, "choisir c'est renoncer", comme dirait MA grand-mère !
Et c'était loin d'être facile. Nous avons reçu (la vie est bien faite) onze textes et onze dessins. 
Franchement, des trésors à chaque fois, tous faits avec le coeur. Des merveilles de drôlerie, de tendresse, d'amour. Des cadeaux.
Alors, Lionel et moi, on a procédé ainsi :


-J'ai fait le choix pour les textes, Lionel pour les illustrations. Un livre gagné dans chaque catégorie !


-J'ai choisi mes quatre textes préférés. Puis j'ai tiré au sort. 
Impossible pour moi de faire autrement, je les aimais "pareil". 


-Lionel a montré ses préférés à son fils et l'a laissé choisir. 
Impossible pour lui de faire autrement, il les aimait "pareil". 


Avant les résultats, un grand MERCI à Loren Bes, Morgane Beaumanoir, Marido Viale, Najat, Thierry Bonnety, Sarah Lerebour, Elice, Fred Paronuzzi, Olivia Doumont, Estelle Billon-Spagnol, Flambi, Julie Bélaval Bazin, Nathalie Paucton, Valy Giuliani, Sandy Descoin, Sandrine Beau, Karine Maicent, LL de Mars, Claire Fauché, Baptistine Mésange, Mathilde Magnan et ma fille Fantine. 


Pour le texte :

Et la gagnante est ...

Son blog 

Son texte 

Les couvertures crochetées de ma grand-mère 

Les couvertures crochetées en fil de coton épais sont rangées dans le fond de mon armoire. L'une est bleue, l'autre est rouge.

Parfois elles vont décorer le lit d'une chambre, ou le canapé du salon, au gré de mon humeur.

Dans le grenier de sa maison il y en a quelques unes, soigneusement pliées dans le fond d'une vieille malle de bois. J'en ai vue une sur le lit de ma sœur. Teinte en rose.

Ses mains ne restaient jamais immobiles. Je les revois crochetant inlassablement ce fil de coton. Je revois toutes ces bobines écrues, des dizaines de grosses bobines récupérées à l'ancienne filature en faillite. - Ce serait dommage de laisser perdre tout ça !

J'entends sa respiration légèrement sifflante d'asthmatique. Son visage est serein. C'est une belle journée d'été. Elle se tient à l'ombre de l'escalier de sa maison écoutant les conversations de sa famille. Elle crochette Elle crochette Elle crochette...

Bravo Marido

Il me faut ton adresse !

Pour le dessin :

Parmi les dessins préférés de Lionel, son fils a choisi cette mamy :

C'est Paulette, la grand-mère globe-trotter et gourmande de Claire Fauché !

Voilà !

Bonnes fêtes à tous !

A bientôt 

Conte du haut de mon crâne sur TF1 !

On avait tourné le reportage il y a deux mois, on avait un peu oublié à force d'attendre, on devait être prévenues de la date de diffusion, et par hasard j'ai su que ça avait été diffusé ce midi.

Le reportage est vraiment bien, avec de belles images des livres de La Souris qui raconte, et notamment de Conte du haut de mon crâne (illustré par Claire Fauché) !

Par ici (avancez jusqu'à 16mn54) !

Quelques images volées (avec Françoise Prêtre, dans les locaux du studio Acrofish) :

Deuxième prise :-)

Découverte des images en mouvement concoctées par Claire !

wéé ! Contente la fifille ^^

Et en vidéo, c'est encore mieux !

Françoise qui assure devant la caméra !

Dernière séance avant fermeture du concours

Trois participantes ce matin :
Baptistine Mésange et sa mamy dans les nuages :

Fantine a déposé ce dessin de sa mamy Manou sur mon lit hier soir, en me glissant : "Pour ton concours, même si j'ai déjà ton livre !"

Et enfin, la dernière (juste à temps, ouf) : Mathilde Magnan !

Plein de mamies sur son blog, alors j'en ai choisi quelques-unes. Elles sont tout simplement magnifiques !

Voilà ! Le concours se termine sur cette mamy au tempérament bien trempé, comme on les aime !

Merci à tous d'avoir participé, c'était GENIAL !!

Résultats dans la journée, faut qu'on discute avec Lionel Larchevêque !

et pour finir la journée en beauté ... (concours mamy)

... Claire Fauché a envoyé cette déclaration d'amour pour Paulette, qui a l'air absolument géniale ! Quelle(s) vie(s) !

Pour continuer à rêver avec Claire, il y a "Conte du haut de mon crâne" sur le site de la souris qui raconte.

Episode 7 dernière minute !

Merci à ma pote Sandrine Beau pour ce texte tout touchant :

Ma mamie m’étouffait sous ses bisous. Des vrais bisous de mamie, en rafale comme une mitraillette « bizbizbizbizbizbizbiz ».

« Si je ne me retenais pas, je te mangerai ! », c’est la phrase qu’elle me disait à chaque retrouvaille.

Mon petit garçon l’a très peu connue, mais c’est drôle parce que quand je le laisse à l’école le matin (et le midi aussi), il me fait la même rafale de bisous. Avec le même bruit !

A chaque fois, je repense à ma petite mamie et j’en suis toute attendrie.

Mamy, épisode 6 !

Ce matin, un petit tour chez Lionel s'impose !
On y trouve deux merveilles :
Une jolie mamy de Bosnie par Karine Maincent, studio Topka.

Une mamy sous la pluie, de LL de Mars.

Et j'ajoute la Louisette d'Elice, la mamy de notre Olaf (ici avec son "carton-cochon") ! 

(voir aussi ma super bannière, bien accrochée sur la voiture verte)

Voilà pour aujourd'hui !

Demain, vote (ou tirage au sort, finalement, difficile de choisir la meilleure mamy !)

Mamy (épisode 5)

Hier, mon amie Sandy m'a confié un trésor : deux pages d'un vieux carnet de recettes de sa grand-mère. Où vous découvrirez la recette du Soubroquo (l'osso-bucco) et le couscous aux Merkes. 

"Mots imaginaires et fautes d'orthographe...
Ma mamie à moi !" 

Et le souvenir d'un triste coup de fil, par Valy

...9 heures ce matin, Maman m'appelle
- Oma est partie dans le ciel.
Un immense chagrin m'envahit
j'ai tant partagé avec toi ma mamie.

Aujourd'hui tu t'en es allée
Quittant cette douleur tant redoutée
Du haut de ton étoile dorée
tu brilles pour nous à jamais...

Adieu Oma...

Une centenaire (au jour près) pour Thierry Bonnety :

Une de mes mamie était née le 25 mars 1910, elle est morte le 25 mars 2010 !

Une mamie vaillante, voyageuse, rigolote, courageuse un seul défaut : elle ne savait pas cuisiner, donc pas de gâteaux-mamie ... 




Vous avez jusqu'au 17 décembre pour participer !

Vive Mamy (épisode 4 !)

Une jolie moisson du mercredi pour le concours avec Lionel !:


La mamy hyper féminine de Flambi (et une recette bien à elle !):

Les "quelques mots" bien pesés et joliment tournés de Julie Bélaval Bazin :

Quelques mots pour mamie ne suffisent pas.

Quelques mots ne peuvent habiller cette feuille,

De tout l’amour qu’elle tisse avec soin, pour nous, depuis toujours.

Quelques mots sont bien peu de choses,

À côté de ses bons petits plats, cuisinés selon les goûts de chacun et qui, 27 ans après, sont toujours aussi délicieux.

Quelques mots suffiront peut-être,

Pour compter les années qui passent, pour une mamie qui n’a pas d’âge, car c’est un secret bien gardé par ses mots et ses yeux.

Les années passent, mais le temps qui file n’a pas d’effets sur son beau visage.

Quelques mots ne suffisent sûrement pas pour raconter ses folles journées,

Où elle court, court pour s’occuper de ses petits-enfants (et arrière-petits enfants) depuis si longtemps !

Quelques bulles de champagne qui éclatent doucement, dans une coupe en cristal,

Une robe de soirée, un gâteau raffiné, quelques pas de danse et voilà une jeune fille aux cheveux d’ébène qui danse et n’a pas d’âge !

Quelques mots pour décrire sa garde-robe, chic et à la mode, seraient bien dérisoires, … il faut dire que sa taille de guêpe lui permet toutes les coquetteries !

Quelques mots ne suffisent pas pour lui dire combien je l’aime.

Puis pour lui dire merci, mille mercis, pour toutes ses attentions, pour elle et pour la super mamie qu’elle est.

Le texte plein d'amour de larmes de Nathalie P.

Mamie pour moi, maman-chérie pour ma mère, mamilette pour ma cousine Christine, Paulo pour mon grand-père (toujours aux petits soins pour elle)

, bonne-maman pour mes enfants..... Paulette pour les autres....

Autant de petits noms pour cette jolie Mamie à la peau douce et au teint de porcelaine.

Quand je pense à elle, c'est avant tout l'odeur de son parfum qui me revient, à la fois doux, léger et crémeux.

Le parfum de cette Mamie toujours pomponnée et qui n'apparaissait qu'après de longs moments dans la salle de bain.

Mamie fragile aux mains douces et fines, au corps gracile mais au maintien royal.

Il m'a fallu des années et le décès de mon grand-père pour comprendre que cette petite Mamie fragile cachait sous cette peau douce et velouté une Mamie pleine

de ressources, de volonté et de force.

A toi, Mamie partie rejoindre Papy il y a 5 ans jour pour jour, je te garde dans mon coeur.

Je trouve que vous nous confiez de jolis secrets, alors merci encore à tous !

des mots sur mes mots

Quelques jolies critiques ça et là,
des mots comme j'aime en lire, à en rougir parfois


Hier...

 Le site DéclicKids a si bien parlé de "Conte du haut de mon crâne"que j'en fus toute z'émue, que j'ai relu l'article deux fois, et que voilà.
Voyez plutôt !
(Vive Claire Fauché)

Un conte exceptionnel !

Dès les toutes premières lignes, Séverine Vidal nous transporte avec talent dans un univers onirique et décalé, mélancolique et grave, ponctué d’un humour aussi léger que délicieusement triste. Résultat : une belle histoire pleine de poésie, magique et captivante, qui a le talent de faire sourire et le pouvoir de faire réfléchir.

Conte du haut de mon crâne - Quand l’amour s'en va

Ensuite il faut parler des illustrations. Claire Fauché a imaginé un univers graphique qui colle parfaitement à l’histoire. Les illustrations sont à la fois épurées et fouillées, riches de mille petits détails drôles et décalés, qui s’animent au passage de la souris. On prend beaucoup de plaisir à faire s’envoler une coccinelle, faire chanter les champignons, admirer les extraordinaires tableaux animés qui se cachent derrière les trois animaux totems. On  explore avec ravissement la galerie de portraits, on regarde défiler le concert de silence, on joue avec la palette de peinture de Mercy ou le défilé de docteurs, etc.

Pour acheter le conte sur le site de la Souris qui Raconte, suivez le guide. 


Aujourd'hui ...

Léontine, princesse en salopette a séduit le magazine Famili, qui la place dans sa sélection de Noël !

"On adore cette histoire fraîche qui véhicule des valeurs d’indépendance, de liberté et d’amour aux fillettes. En plus, le livre est superbement illustré !"


C'est par ici ! 
(Vive Soufie !)

Pour acheter Léontine, foncez chez votre libraire préféré !

merci merci

et aussi ... un article très drôle et très complet sur le site La mare aux mots :

juste là !

Merci Gabriel !

Une pluie de Mamy (épisode 3)

Aujourd'hui, trois merveilles à se mettre sous la dent :


La mamy philosophe d'Estelle*

Le texte touchant et plein d'humour du grand Fred Paronuzzi (tu n'as pas de site Fred ? Je mets un lien sur ton wikipédia !):

Ma mamy Clotilde a vécu presque cent ans et n’avait plus aucune dent (mais un dentier éclatant).

Ma mamy Clotilde aimait les glaces au chocolat et mettait du pain dans son café au petit déjeuner.

Ma mamy Clotilde rigolait devant les candidats des jeux télévisés (« ils sont vraiment trop moches », disait-elle).

Ma mamy Clotilde trouvait que mon chien sentait mauvais (mais lui offrait un os pour Noël chaque année).

Ma mamy Clotilde m’a donné tant d’amour que je suis certain de ne jamais en manquer.

La déclaration d'amour gourmande de Sarah L. pour sa grand-mère (et au passage, félicitations pour le petit quatrième !):

Ma mamy à moi se résume en un livre de recettes bien rempli, allant de la béchamel sans grumeaux, au lapin en chocolat avec des oreilles disproportionnées, sans oublier les clémentines, ou les sandwiches aux carottes rapées, les boulettes aux épinards dont elle avait le secret, et le kougloff qu'on ne mangeait que chez elle!

Mais c'était aussi un fil et une aiguille qui racommodait tous les bobos de nos pulls ou nos jeans. Aussi un quartier de pomme dans le lit le soir, qu'on suçait pour qu'il dure le plus longtemps possible. Des lèvres tremblantes sur nos fronts pour vérifier que la fièvre était tombée. C'était de l'amour, où il faisait bon passer les mercredis, en tailleur sur son tapis avec nos tinnies et nos dodos.

Ma mamy n'est plus, mais aujourd'hui j'ai bientôt 4 enfants, et j'espère bien qu'ils m'offriront le bonheur d'être une mamy aussi chouette qu'était la mienne.

merci

merci

de me confier ça

vive vous !

Concours suite !

Pour aujourd'hui, encore une jolie sélection !

La famille d'Olivia (fille douée de sa maman) :

Et le magnifique texte de Morgane (une fille extra, et même méta-extra) :

Non, il n’est pas possible de faire le tour d’une vie, peut-être encore moins celle de notre grand-mère. Mais nous pouvons raconter ce que nous avons vu, ce que nous avons partagé, nous pouvons témoigner de quelle mamie fut ce petit bout de femme, nous pouvons ranimer des souvenirs qui constitueront qui elle restera, pour nous.
L’ancrage dans la terre, toujours, jusqu’au bord des voix ferrées de la ville nouvelle, cette terre qu’elle portait en elle sans fausse pudeur. Celle de ses souvenirs des travaux agricoles, racontée, celle de ses jardins, tant de fois arpentée, admirée, dont elle se plaignait avec l’affection qu’on a pour ce qui a vraiment besoin de nous. Les fleurs qu’elle faisait pousser partout où elle passait étaient la mesure de sa vitalité.
Les goûts, tous les goûts, des pires et surtout des meilleurs, de la négociation des fèves au fantasme de la cervelle, mais surtout de la salade du jardin assaisonnée avec les doigts aux généreux copeaux de chocolat tombant en pluie sur la tartine ou la crêpe tout aussi généreusement beurrée. Il ne faudrait pas oublier les homards, la lotte à l’armoricaine, le lapin aux pruneaux, la tarte aux pommes… et surtout le placard à gâteau, à chocolat, réponse à toutes les gourmandises.
Les animaux aussi, l’arche de Noé que nous visitions, enfants, avec la même curiosité renouvelée, lapins, poules et mêmes canards, les chats, les chiens qu’elle adorait plus que tout autre chose, les Chouchou, les Bibi ; tous ces animaux scandaient son quotidien et accordéonaient son temps. 
Les rires, les siens, enfantins, les nôtres, mêlés de cris à la vue de son plus beau sourire de sorcière ou de ses locataires plastiques, araignée ou lézard qui en ont surpris plus d’un. La jeunesse de ses rires, sa posture de lanceuse de boules de pétanque, comme ses trottinements délimitant le potager, dessinent sa silhouette plus sûrement que n’importe quelle photographie ne pourrait le faire.
Ces fragments ne seraient rien sans le principal, cette liberté qu’elle nous donnait et qui ouvrait nos poumons, qui a contribué à faire de nous des femmes de caractère, des femmes iodées comme les adolescentes saoulées d’air marin que nous avons été en l’Ile-Grande. 


Je vous avais prévenus les gens !

Concours Mamy !

Lionel et moi recevons des perles, de jolis petits messages parfois drôles, parfois tendres, parfois franchement nostalgiques. 
J'en posterai deux ou trois chaque jour jusqu'à vendredi, jour des résultats !


Ce soir :


Un dessin vraiment chouette de Loren Bes, avec une grand-mère rock n'roll. Je vous encourage d'ailleurs à aller visiter son site ! Par ici !

Un texte très émouvant de Marido Viale :

Les couvertures crochetées de ma grand-mère 

Les couvertures crochetées en fil de coton épais sont rangées dans le fond de mon armoire. L'une est bleue, l'autre est rouge.

Parfois elles vont décorer le lit d'une chambre, ou le canapé du salon, au gré de mon humeur.

Dans le grenier de sa maison il y en a quelques unes, soigneusement pliées dans le fond d'une vieille malle de bois. J'en ai vue une sur le lit de ma sœur. Teinte en rose.

Ses mains ne restaient jamais immobiles. Je les revois crochetant inlassablement ce fil de coton. Je revois toutes ces bobines écrues, des dizaines de grosses bobines récupérées à l'ancienne filature en faillite. - Ce serait dommage de laisser perdre tout ça !

J'entends sa respiration légèrement sifflante d'asthmatique. Son visage est serein. C'est une belle journée d'été. Elle se tient à l'ombre de l'escalier de sa maison écoutant les conversations de sa famille. Elle crochette Elle crochette Elle crochette.

Une lettre parfumée pour Henna, par Najat :

Mamie, je ne l'appelais pas Mamie. Elle avait un autre nom, celui d'une autre langue : Henna.

Je ne m'en souviens plus très bien. 

En fait si, un tout petit peu quand même.

Elle nous attendait les grands jours de vacances, quand nous passions la Méditerranée, les bras chargés de cadeaux.

Au pays, il faisait toujours beau, sauf une fois je crois où il a plu, tout doucement sur la terre fumante de cette journée de juillet.

J'ai mis mon nez, tout près du sol et j'ai respiré. Alors depuis, quand je pense à Henna, c'est cette odeur qui me vient.

Et je ferme les yeux. Et là, c'est elle que je vois, les cheveux roux de héné et les yeux pétillants, qui attend les retrouvailles avec l'amour accumulé d'une pleine année.

D'autres textes demain !

merci à tous pour votre participation,

toujours un plaisir de vous lire ...

Prune sur Lecture Jeunesse 83 !

Un bel article à lire sur LJ83 !

merci à Thierry

Les tomes 3 et 4 aux éditions FRIMOUSSE en 2012 !
Prune et la colo d'enfer
Prune cherche son style

Montreuil, c'est chaud

Trois jours intenses avec en vrac :
le plaisir de retrouver les amis, d'en découvrir d'autres, de voir débarquer une troupe de filles sur le stand des P'tits Bérets, d'avoir un fan, un vrai de vrai (la preuve en images ci-dessous),  de rencontrer Soufie et Kris di Giacomo et de dédicacer avec elles Léontine et Prune, de raconter à peu près n'importe quoi à table le samedi soir, d'avoir eu quelques vrais rendez-vous de travail, deux réponses fermes et un très bel espoir à confirmer, ...


Merci à ceux qui sont venus me voir en dédicace : nombreux, enthousiastes, chaleureux.
Merci d'être au rendez-vous, à chaque fois.

Morgan Camus à genoux

Avec Cécile Vangout !

une Sardine floue

une Gwendou en maillot de bain.

Deux adeptes du Poulpisme. 

Sandrine Kao en garde alternée.

Claire Gaudriot sans moustache. 

Soufie, avant l'assaut. 

Le fan. Gabriel. 

Ses gâteaux gravés du prénom de notre princesse (c'est pas un peu fou, ça ??)

Les 25 ans de Soufie.

La brochette de filles sans salopettes. 

Mimo on the rock's. 

Vive vous !

J'en ai fini avec mon marathon des salons. 

Je suis vivante. C'était pas gagné. 

Prochain départ mi-janvier pour Saint-Loubès en Gironde.