Mon papy n'aime pas qu'on l'appelle Papy

héhé



Après Arsène veut grandir et Mamythologie, parus en 2010 et 2011, on remet ça, avec l'ami Lionel Larchevêque !

Un nouveau projet qui, on l'espère fort, séduira un éditeur ;)

Alors on croise nos petits doigts arthritiques, c'est parti !





"Papy n'aime pas qu'on l'appelle Papy"

Il est top, non, ce papy un peu punk ?

Go, Papy !

Heureuse.

Chouette, j'ai le droit de le dire :

le roman dont je parlais ici (celui pour lequel j'ai obtenu une bourse du CNL) paraîtra en septembre 2015 dans la collection Exprim des éditions Sarbacane (dirigée par Sieur Tibo Bérard) !

Et on a trouvé un titre (après un brainstorming collectivo-solidaire avec mes copines de l'atelier virtuel) :

L'Hiver derrière nous



Et ça me rend heureuse, voyez-vous.

Quelques chiffres :
270 000 signes (oh la vache, je pensais pas écrire autant un jour)
6 états traversés  (les états américains, hein, parce que je passe par beaucoup plus que 6 états quand j'écris)
7 personnages

ça ne dit pas grand chose, ces chiffres, mais comme j'ai gagné (c'est officiel) le titre de la plus mauvaise "pitcheuse" de tous les temps, je ne me risquerai à aucun résumé du livre.



Ce crooner des années 50, sorte d'Elvis Presley à gourmette, le dénommé Pat Boone, y aura une place de choix.

Dans L'Hiver derrière nous,  on tentera de rattraper au vol la mémoire qui s'échappe.
On se choisira une famille pour la route.

Les rires et les larmes se mélangeront parfois.


Exprim' en 2014, ça ressemblait à ça (que du bon, garanti 100 % gros talents) :

Alors rejoindre cette team-là, je peux vous dire que ça me transporte assez loin. 

Le même mois, un truc de dingue, j'aurai aussi un petit Pépix tout frais (la collection où j'ai déjà La Drôle d'évasion).

Luna en Terre rouge (le roman écrit l'année dernière dans le cadre du Feuilleton des Incos).

Il va peut-être changer de titre celui-là, va savoir.
Illustré par la géniale Anne-Lise Combeaud, qui m'a dessinée comme ça et je l'ai bien pris :

✮

✮

Je ne sais pas si je vous l'ai déjà dit mais Tibo Bérard est un éditeur en or, genre massif. 

Je ne suis pas la seule à le dire, et vous pouvez nous croire. 

✮✮

Ma rentrée à moi

Ma rentrée, c'est aujourd'hui.

A l'heure où vous lirez ce post, je serai déjà sur la route vers le Val de Reuil (près de Rouen), où vont démarrer les ateliers avec quatre classes de maternelle de l'école Dominos.
Des ateliers imaginés avec Annie Demarly qui m'avait invitée l'année dernière dans le cadre du Prix des Incos.

On se verra six fois cette année, et on va inventer des histoires, et ça sera chouette, ça l'est toujours.


Après quatre mois totalement consacrés à la glande, aux vacances, à faire des gâteaux pour mes enfants et à choisir la couleur du vernis de mes ongles de pied, totalement consacrés à l'écriture de mon roman, (qui sortira en 2015, ouais !!) ... je vais donc SORTIR de chez moi !

Dingue.

J'ai préparé mes petites affaires, quelques livres, la "bonne feuille" de Nestor, les croquis des dessins de Marc Lizano pour leur montrer comment on fabrique une BD, bref de quoi bosser, rêver, rire et réfléchir à ce qu'on fera cette année.

Les autres projets de l'année, les rencontres et les salons, vous les trouverez là. 

Un pas puis mille

Les habitués de ce blog se souviennent peut-être du projet "Pesco et moi" que je partage avec Julien Castanié.
J'avais annoncé une belle nouvelle le concernant : elle se concrétise doucement mais sûrement.

Dans le courant de l'année 2015, paraîtra   "Un pas puis mille" (oui, on a changé le titre), aux éditions de La Pastèque !



Les éditions de La Pastèque, c'était mon Graal à moi.

Parce que c'est là qu'est éditée la série des Paul de Michel Rabagliati, et puis le célèbrissime et merveilleux Jane, le renard et moi, et puis tant d'autres  livres que j'adore.
Alors quand on a eu notre "oui", je dansais je crois.

Julien Castanié ( nous partageons déjà Polaroiïd chez Frimousse) vient de m'envoyer le chemin de fer.

De quoi rêver. 
De quoi attendre.

Rough

Rough

"

J'ai d'abord fait un pas. Ils ont cru que je devenais fou.

Je suis pas fou, je pars. C'est tout.

Personne n'a cru que je pourrais le faire.

J'ai essuyé des blagues pas très drôles et les larmes sur mes joues.

Ici, avec les larmes, il faut faire vite. Le froid en fait des petits glaçons.

J'ai eu raison de prendre mon chapeau en faux poils de coyote, ça réchauffe.

J'ai d'abord fait un pas, et puis mille.

J'ai dit je pars, je le fais.

A moi la grande vie, à moi le rêve et la nature sauvage !"

Rendez-vous en 2015 pour cette histoire de déménagement, d'accompagnement, de rêveries sous la lune.