Une chronique qui m'a touchée... comme si on me donnait des nouvelles d'un ami (très cher) perdu de vue.
Alors merci.
C'est ici !
"Et tout se joue là, dans la retenue qui s'inscrit sur le fil de la narration qui déroule de manière non linéaire les événements, qui raconte ce qu'est cette folie maternelle, qui raconte aussi le voyage sur les mers et les sentiments qui se nouent, les vérités qui se délient, comme les langues, sur le rafiot. Le fil, c'est Séverine Vidal qui le mène, défait les nœuds, tisse, lie, suggère, avec grand talent en nous livrant une histoire très forte, sur un sujet lourd et douloureux avec mesure, presque sans tristesse mais avec une infinie tendresse."
Oui, c'est beau...
RépondreSupprimerJolie chronique.
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