C'est là.
Et ça fait plaisir, tiens !
dimanche 14 octobre 2012
Je zarzouille
Un bel article à propos de Mon père est un zarzouilleur, sur le blog Le royaume des livres !
C'est là.
Et ça fait plaisir, tiens !
C'est là.
Et ça fait plaisir, tiens !
vendredi 12 octobre 2012
On ne l'a pas vu venir (non plus)
Une autre sélection pour On n'a rien vu venir (chez Alice) !
C'est pour le prix Ruralivres 2012/2013, sélection des dévoreurs.
Ce qui est bien, c'est qu'un autre de mes livres est en sélection aussi :
Noël en juillet (Oskar), co-écrit avec mes potesses Anne-Gaëlle Balpe et Sandrine Beau.
C'est déjà le cas pour le Prix des Collégiens de la Seyne/mer !
mercredi 10 octobre 2012
1 jeune = 1 livre
Depuis 16 ans, le C.E. de la SNCF du Nord-Pas-de-Calais offre aux enfants des cheminots un livre qu'il choisit parmi une sélection.
Cette année, deux de mes livres ont été retenus.
Léontine, princesse en salopette (illustré par Soufie, Les p'tits Bérets) pour les 6/9 ans
et
On n'a rien vu venir (roman à 7 voix, illustré par Aurore Petit, Alice Jeunesse) pour les 10/14 ans
Et c'est chouette !
Je vais donc me rendre près de Lille pour des rencontres et des dédicaces.
Chaque enfant se voit remettre un livre et tout un tas d'animations lui sont offertes.
Le programme est par là.
Cette année, deux de mes livres ont été retenus.
Léontine, princesse en salopette (illustré par Soufie, Les p'tits Bérets) pour les 6/9 ans
et
On n'a rien vu venir (roman à 7 voix, illustré par Aurore Petit, Alice Jeunesse) pour les 10/14 ans
Et c'est chouette !
Je vais donc me rendre près de Lille pour des rencontres et des dédicaces.
Chaque enfant se voit remettre un livre et tout un tas d'animations lui sont offertes.
Le programme est par là.
dimanche 7 octobre 2012
Un award pour Conte du haut de mon crâne !
La version en anglais de Conte du haut de mon crâne, "A tale off the top of my head "a reçu un award, sur le site FWA !
Nous voilà au milieu d'agences prestigieuses, voyez plutôt ;)
Voyez ce qu'en dit La souris qui Raconte ...
Claire Fauché a, pour l'occasion, intégré ce prix à la galerie de tableaux d'Ari, joli !
samedi 6 octobre 2012
La Grande Collection
Un texte très personnel, des illustrations devant lesquelles on pourrait rester longtemps, s'y perdre un peu, s'y retrouver, une maison d'édition qui assure (papier épais, mise en page impeccable...)
La Grande Collection
Illustrations Delphine Vaute
Chez Philomèle !
Merci à Isabelle d'avoir pris tant soin de notre projet.
Violette collectionneuse de tout et de rien, se met des tas de trucs au fond des poches.
Des objets, des souvenirs, des cauchemars, des mots.
Plein de mots, ceux qu'elle aime, ceux qu'elle déteste, des bouts de mots orphelins, des gros mots.
Et elle fait le tri.
On fait ça quand on grandit, non ?
Un concours pour gagner un exemplaire dédicacé est organisé chez Delphine, par ici !
et toujours celui chez Eléonore pour gagner le Zarzouilleur :)
vendredi 5 octobre 2012
Georges by ...
Je fais des recherches sur Georges Perec.
Juste pour le plaisir, voilà ce que j'ai trouvé.
Par Enki Bilal
Juste pour le plaisir, voilà ce que j'ai trouvé.
Par Enki Bilal
Par Yelena Bryksenkova
Par Tanuki
pinacogramme (anonyme)
Portrait réalisé avec les lettres de son nom
en gif animé par ici (encore merci Jane)
Et par Lionel Larchevêque
(dessin réalisé pour un projet qui n'a hélas pas abouti)
par Bahia (merci Jane !!)
Pas mal.
Si vous en connaissez d'autres, je suis preneuse.
J'espère vous donner ici, très bientôt, de belles nouvelles d'un projet (pour adulte, cette fois) autour de ce Georges qui m'obsède.
C'est une drogue douce.
jeudi 4 octobre 2012
Clovis et le pain d'épices
C'est une période comme ça, je n'y peux rien.
Plusieurs albums sortent en même temps, dans des maisons d'édition différentes.
Pourtant, à chaque fois, la même émotion en recevant mes exemplaires.
Ouvrir le paquet.
Enlever le plastique.
Ne pas y arriver.
L'arracher, du coup.
Toucher le livre.
Le renifler.
Vérifier que tout est bien là.
Sourire.
Je ne m'habitue pas, et c'est tant mieux.
Après Prune cherche son style (Frimousse), Mon papa est un zarzouilleur (Les p'tits Bérets) et avant La Grande collection (Philomèle), je viens de recevoir Clovis et le pain d'épices.
Les éditions Feuilles de menthe, basée dans l'Est, font un travail remarquable.
Anne Hemstege a illustré ce conte gourmand. J'adore ce qu'elle en a fait. C'est moderne et rétro, c'est vif et poétique.
A la fin, un dossier sur le pain d'épices très documenté (recette, histoire ...).
Plusieurs albums sortent en même temps, dans des maisons d'édition différentes.
Pourtant, à chaque fois, la même émotion en recevant mes exemplaires.
Ouvrir le paquet.
Enlever le plastique.
Ne pas y arriver.
L'arracher, du coup.
Toucher le livre.
Le renifler.
Vérifier que tout est bien là.
Sourire.
Je ne m'habitue pas, et c'est tant mieux.
Après Prune cherche son style (Frimousse), Mon papa est un zarzouilleur (Les p'tits Bérets) et avant La Grande collection (Philomèle), je viens de recevoir Clovis et le pain d'épices.
Les éditions Feuilles de menthe, basée dans l'Est, font un travail remarquable.
Anne Hemstege a illustré ce conte gourmand. J'adore ce qu'elle en a fait. C'est moderne et rétro, c'est vif et poétique.
A la fin, un dossier sur le pain d'épices très documenté (recette, histoire ...).
mardi 2 octobre 2012
Les Petites marées
Ce livre est sorti au printemps dans la collection Court Métrage, chez Oskar.
Hier, une collègue auteure que j'aime beaucoup m'a envoyé un adorable message pour m'en dire du bien.
Ce soir, j'en découvre une analyse sur le site "Culture et débats", et me voilà "comme deux ronds de flan" (merci Mamy pour cette expression qui ne me quitte pas).
Alors, je le partage avec vous. Si l'idée vous vient de lire ce roman et de me dire ce que vous en pensez, ce serait chouette.
L'article est par ici.
Et j'ai très envie de croire à tout ce que dit cette personne (que je ne connais pas du tout, hein, et que je n'ai même pas payée ^^) parce que ...
"Dans Les petites marées, il y a l'écho incessant des gestes, des silences, des appels comme les battements du ressac, dehors du côté du large. L'architecture de ce roman montre l'urgence de dire, de confondre, les amours et les corps, la mort et l'impuissance, le désir et son absence, l'homosexualité, et la présence de la femme. Tout ce mélange a lieu dans la maison de la grand-mère qui se vide peu à peu des meubles, des objets...
Heureusement, Séverine Vidal est un sage qui ne se repaît pas du désespoir des histoires d'amour qui meurent."
Voilà voilà.
Demain, je me redégonfle l'égo, promis.
Hier, une collègue auteure que j'aime beaucoup m'a envoyé un adorable message pour m'en dire du bien.
Ce soir, j'en découvre une analyse sur le site "Culture et débats", et me voilà "comme deux ronds de flan" (merci Mamy pour cette expression qui ne me quitte pas).
Alors, je le partage avec vous. Si l'idée vous vient de lire ce roman et de me dire ce que vous en pensez, ce serait chouette.
L'article est par ici.
Et j'ai très envie de croire à tout ce que dit cette personne (que je ne connais pas du tout, hein, et que je n'ai même pas payée ^^) parce que ...
"Dans Les petites marées, il y a l'écho incessant des gestes, des silences, des appels comme les battements du ressac, dehors du côté du large. L'architecture de ce roman montre l'urgence de dire, de confondre, les amours et les corps, la mort et l'impuissance, le désir et son absence, l'homosexualité, et la présence de la femme. Tout ce mélange a lieu dans la maison de la grand-mère qui se vide peu à peu des meubles, des objets...
Heureusement, Séverine Vidal est un sage qui ne se repaît pas du désespoir des histoires d'amour qui meurent."
Voilà voilà.
Demain, je me redégonfle l'égo, promis.
Zarzouilleur ? vous avez dit Zarzouilleur ?
Il est là.
"Mon papa est un zarzouilleur" illustré par Eléonore Thuillier.
Merci à la zarzouillante équipe des P'tits Bérets :)
Un concours par ici, chez Eléonore !!
"Mon papa est un zarzouilleur" illustré par Eléonore Thuillier.
Merci à la zarzouillante équipe des P'tits Bérets :)
Un concours par ici, chez Eléonore !!
edit : voilà une proposition de définition du Zarzouilleur par Gaétan sur le blog d'Eléonore !
J'adore !!
Le terme zarzouilleur est apparu au début du XVIIème siècle à Paris, venant du verbe zarzouyer devenu zarzouiller avec le temps et qui signifiait à l'origine le fait de cabahuter dans les quartiers de corporations vigneronnes de la Capitale. Le cabahutage fut interdit par la suite et la zarzouille était un moyen déguisé de cabahuter sans être hors la loi. Depuis la fin du XIXème et le début du XXème, la zarzouille est devenue la référence en matière d'échopage, de gradiation des denrées diverses et le commerce de la brocante d'objets cabahutés...
lundi 1 octobre 2012
Prune : résultats du concours !
Tout d'abord un immense puissant vibrant merci pour vos témoignages !
C'était un bonheur de vous lire, et d'accueillir des nouveaux sur ce blog.
Il y a eu 50 participants tout rond.
Et même une participation in english siouplaît.
Du coup, j'ai demandé à une main innocente du secteur de tirer au sort non pas un mais deux noms.
Tirage au sort en images :
C'était un bonheur de vous lire, et d'accueillir des nouveaux sur ce blog.
Il y a eu 50 participants tout rond.
Et même une participation in english siouplaît.
Du coup, j'ai demandé à une main innocente du secteur de tirer au sort non pas un mais deux noms.
Tirage au sort en images :
Bravo à Julia et Valy !
(vos adresses please)
L'histoire de Julia :
Pas besoin de réfléchir, pour moi c'est THE manteau !
Hum hum.
Pour la rentrée en 6ème, là où justement t'as envie de passer inaperçu au milieu de tous ces "grands", ma mère avait rien trouvé de mieux que de m'acheter un manteau un peu grand, genre manteau de ski, en disant : "tiens bah comme ça te fera plusieurs saisons et puis tu l'auras pour la classe de neige aussi !". Déjà, ça calme, mais ce n'est pas le pire (hélas)... Le pire, c'était la couleur : fluo rose, jaune et vert :'(
Pendant un an, il m'a valu le super surnom de "FLUO" dans tout le collège !!!
Et PAF !
Hum hum.
Pour la rentrée en 6ème, là où justement t'as envie de passer inaperçu au milieu de tous ces "grands", ma mère avait rien trouvé de mieux que de m'acheter un manteau un peu grand, genre manteau de ski, en disant : "tiens bah comme ça te fera plusieurs saisons et puis tu l'auras pour la classe de neige aussi !". Déjà, ça calme, mais ce n'est pas le pire (hélas)... Le pire, c'était la couleur : fluo rose, jaune et vert :'(
Pendant un an, il m'a valu le super surnom de "FLUO" dans tout le collège !!!
Et PAF !
L'histoire de Valy :
Ma maman m'habillait toujours en rouge, elle trouvait que ça m'allait trop bien. Moi je détestais, j'en avais marre d'être en rouge. Une fois adolescente, puis adulte je n'ai plus jamais porté de rouge jusqu'à il y peut-être deux ans...
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